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La Municipalité a organisé un nouveau temps de soutien pour le peuple Ukrainien

Ce mercredi 4 mai, la Municipalité de Châteaubriant a de nouveau convié la population pour un temps de soutien au peuple Ukrainien, devant l’Hôtel de Ville.

Vie locale,  Vie municipale

Publié le mercredi 4 mai 2022

La Municipalité a organisé un nouveau temps de soutien pour le peuple Ukrainien

Ce mercredi 4 mai, la Municipalité de Châteaubriant a de nouveau convié la population pour un temps de soutien au peuple Ukrainien, devant l’Hôtel de Ville. De nombreux castelbriantais ont fait le déplacement, ainsi que des familles ukrainiennes arrivées sur le territoire, pour se joindre à ce temps fort, aux côtés des élus.

Catherine Ciron, 1re adjointe, a rappelé qu’un premier rassemblement de solidarité avait été organisé le 9 mars dernier sur le parvis, date à laquelle les deux drapeaux ukrainiens ont été apposés sur la façade de l’Hôtel de Ville. « Malheureusement, nous sommes encore là aujourd’hui, parce que vous le savez tous, cette situation en Ukraine est loin d’être réglée. Et pour nous, il était évident de pouvoir organiser à nouveau ce temps de solidarité, avec vous, en soutien au peuple Ukrainien qui souffre tous les jours de cette guerre ».

À cette occasion, un temps musical a été assuré par August Antonov, pianiste concertiste, professeur au Conservatoire Intercommunal. Catherine Ciron a précisé qu’« August Antonov nous a proposé de s’associer à ce temps de solidarité, car, en Ukraine la population continue de chanter malgré tout. Les artistes Ukrainiens continuent de jouer dans des conditions terribles, et pour eux c’est aussi une forme de résistance et de solidarité. Nous avons voulu ici, à Châteaubriant, partager ce temps musical de solidarité. »

 August Antonov a alors joué l’hymne de l’Ukraine intitulé « L’Ukraine n’est pas encore morte ». Il s’agit d’un poème patriotique écrit à la fin du 19e siècle, puis choisi comme hymne national officiel en 1917, au renouveau de l’Ukraine État-nation, qui a été supprimé en 1920 par les soviétiques, et qui a enfin retrouvé tout son sens officiel en 1996.

Puis, August Antonov a conclu avec un morceau d’un compositeur contemporain Ukrainien.

 

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